Pourquoi se limiter à la diversité, à la mixité, à la parité et à l’égalité et ne pas aborder directement l’acceptation des différences ?
S’il est si dur de manager la diversité, c’est peut-être parce que les différences sont difficiles à accepter. Qu’elles soient entre hommes et femmes, entre juniors et séniors, entre cultures différentes ou tout simplement entre notre façon de voir et celle des autres. Manager durablement, c’est manager cette complexité : être capable de faire travailler ensemble des individus tous différents.
De façon très claire, ne pas accepter les différences, c’est attribuer à l’autre des intentions et des façons d’être différentes de celles qui sont les nôtres. Ainsi, nous pensons que cela comporte un risque pour nous à surveiller. A contrario, accepter les différences, c’est ne plus voir l’autre comme un ennemi ou un danger mais accepter sa façon de percevoir et analyser les choses.
Dès lors, nous sommes en mesure de comprendre que la différence de l’autre peut nous enrichir. En un mot, nous pouvons dès lors ne plus considérer l’autre comme une menace mais comme un partenaire à fortes valeurs ajoutées. Pour accepter les différences, il s’agir de dialoguer et de mettre en commun nos opinions et réflexions pour amplifier nos façons de penser.
Pour imager, disons que : « Je vois rouge, tu vois bleu alors la réalité doit être plutôt mauve et ensemble composons la vraie teinte. ».
Le secret des équipes qui gagnent réside ici et non dans le clonage de sa propre façon de penser, réfléchir ou travailler !
Chez Esprit d’équi, nos exercices vont vous aider à ne plus être aveuglé par la différence mais au contraire d’y voir une force inestimable. Alors, on saute le pas ?