Comme nous l’avons vu dans un précédent article, chez les chevaux, le leader n’est pas forcément le dominant ; c’est celui qui fait des choses dignes d’intérêt pour le troupeau.
Mais est-ce-que le leader doit pour autant être « gentil » ? Chez les chevaux, non, le leader n’est pas ce que l’on qualifierait de gentil. En effet, il a une responsabilité, celle d’emmener le troupeau là où sa mission le désigne comme l’expert en la matière. La survie du troupeau dépend de lui pour cette mission en particulier. S’il n’a pas à être gentil, il doit être rassurant pour les membres du groupe. C’est sa fiabilité qui importe plutôt que sa gentillesse.